Agenda-Culturelle : « ne vend pas ta dignité pour un simple iPhone, mais travaille dur pour en avoir », Alia Kas aux jeunes filles dans son nouveau single

« Tout est permis, mais tout n’est pas utile ». Voilà le message phare à retenir de la nouvelle chanson de la jeune artiste Naomie Alia Kasivirehi, Alia-Kas. La nouveauté est intitulée « Garde-toi ». Elle est sortie aux heures de midi de ce Vendredi 25 Octobre 2024, une sortie coïncidant avec la date dédiée à l’artiste par les Nations unies

Ci-dessous l’intégralité de l’Agenda-Culturelle ⤵️

Au cours d’une interview circonstancielle, Alia-Kas nous a expliqué le contenu de « Garde-toi ». Elle a déclaré qu’elle voudrait, par ce titre, rappeler la promotion et la défense des valeurs humaines à tout le monde, surtout en faveur des filles et femmes qui semblent, selon l’artiste, être victime d’une déshumanisation du fait du développement du monde.

Le message s’adresse surtout aux filles et femmes qui se livrent aux antivaleurs, à la merci des hommes, juste pour des raisons sentimentalistes, matérialistes, pourtant surmontables si l’on devient fière de soi et de sa nature, indique Alia Kas.

« J’essaie un peu d’interpeller tout le monde, surtout des femmes, d’avoir des choix réfléchis, de ne pas se laisser faire, de ne pas se laisser influencer par n’importe quoi, par les réseaux sociaux, par le téléphoneActuellement, plusieurs femmes se vendent pour les I Phone. J’interpelle, de cette manière, surtout je montre que c’est anormal de vendre sa dignité juste pour un I Phone »

Pour faire face à ce qui est nuisible à la dignité humaine, du moins de la femme, Alias Kas conseille, dans « Garde-toi », la reconnaissance du caractère sacré du corps humain, l’éducation familiale, le travail, la méfiance au matérielet à la mauvaise influence des Nouvelles Technologie de l’Information et de la Communication, NTIC.

« Que ce soit dans ton boulot, à l’école, en route, réveille toi. Ne dors pas. Vois ce qui est important. Se réveiller, c’est travailler pour son futur » Notons « Garde toi » est la 6ième chanson à l’actif de Alia Kas, en tant qu’artiste musicienne. Pour cette rappeuse de 21 ans, ce nouveau titre augure un album EP dont le nom et d’autres chansons vont être découverts progressivement et incessamment.

En attendant, « Garde-toi » s’obtient déjà sur toutes les plateformes de téléchargement de musique. Alias Kas est, par ailleurs, connue pour le titreEpuisée dans lequel elle collabore avec Gloria Bash de Goma pour dénoncer le manque d’amour fraternel dans la société et la misère dans laquelle vit le congolais de l’Est.

À suivre sur YouTube: https://youtu.be/SGskwzGa1Ac?si=NxUwmjVT1viYp4XJ

Les deux artistes y proposent également des pistes de solution à cette crise. Les titres de Alia Kas sontgénéralement inspirés de l’observation sociale et son expérience vitale.

Annonces

⏭ Le Chœur Saint Cyrile de Jérusalem, œuvrant dans la paroisse Notre Dame de la Mercie de Masereka, annonce un concert show pour ce Novembre 2024.

Pour fédérer tous les chrétiens à cette activité qui arrive d’ici le 24 Novembre 2024, dans la salle polyvalente locale, le Président de ce Chœur indique que le droit de participation est de 500 Francs congolais.

Ce sera également une façon de dire « Oui la paix dans nos cœurs », dans ce concert qui sera couplé à un concours de Génie en herbe, circonscrit Kasereka Mbogho Germain.

Masereka est une entité située à l’Est du territoire de Lubero, en diocèse de Butembo-Beni.

⏭ Butembo va vibrer au rythme d’un concert reggae intitulé Fara-Fara, Dimanche 27 Octobre 2024. Ce « Qui fait mieux dans le reggae à Butembo » va mettre aux prises Mayaya Santa et 12 Poumon, à partir de 12 heures à l’Espace Yira Mirembe.

Le Rastafari et le Rasta Ouran seront accompagnés par d’autres artistes invités, dont Elkan Karan.
Mayaya Santa et 12 Poumon vont compétir dans ce concert non seulement pour
égayer le public, mais aussi pour briguer 2 mille 500 dollars américains.

Pour assister à ce concert, l’on prend une place ordinaire à 5 mille Francs congolais et la VIP à 5 dollars américains.

Patrick Kalungwana

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.