La D.G. de l’Institut Séculier MAGDALENA AULINA enthousiasmée du dynamisme des fidèles de Butembo-Beni

La Directrice générale de l’Institut séculier s’enthousiasme du dynamisme dont témoignent les fidèles de Butembo-Beni dont la plupart souffrent. PINA MILANA a exprimé ce sentiment au cours d’une interview accordée à Radio Moto Butembo-Beni lors de son dernier séjour au diocèse. 

A en croire ses termes, cet Institut a beaucoup reçu des fidèles du diocèse. Elle espère que le charisme de la Sainte MAGDALENA AULINA et d’autres qui existent au diocèse pourront aider que la population ne désespère pas malgré les difficultés endurées.

« Avec les autres, ils peuvent aider les gens de Butembo à avoir beaucoup plus d’espérance, parce que vous êtes un peuple plus courageux parce que vous souffrez beaucoup. Nous venions ici pour vous porter quelque chose, mais c’est nous qui recevons beaucoup plus de vous ; de votre foi, de votre courage, de votre persévérance. En Europe, en Italie, on a des Eglises merveilleuses, mais c’est dommage. Elles sont vides. Maintenant ici on a une Eglise vivante. Alors l’Eglise c’est le peuple de Dieu comme on peut le voir ici », a-t-elle loué.

PINA MILANA, Directrice générale de l’Institut séculier MAGDALENA AULINA appelle à l’adhésion au sein de cette structure.

« Nous avons la porte ouverte pour accueillir, s’ils veulent faire un discernement, si c’est Dieu qui les appelle, ils viendront. Mais c’est Dieu qui appelle chacun. Si on peut connaitre… Parfois on ne sait pas ce que c’est un Institut séculier. J’espère que le Seigneur leur parlera dans le cœur. J’espère, je serai très contente de recevoir les filles et les fils », a-t-elle sensibilisé.

Recevoir des fils aussi parce que même si les 160 membres de l’Institut séculier MAGDALENA AULINA sont femmes consacrées au Seigneur, ce dernier dispose d’une branche qui rassemble des prêtres et d’autres laïcs amis à l’Institut appelés « Veilleurs de l’Evangile ».

L’Institut Séculier MAGDALENA AULINA s’inspire des vertus de la Sainte Magdalena AULINA. Née au Nord de l’Espagne le 12 décembre 1897, elle mourut le 15 mai 1956 à Barcelone en Espagne alors qu’elle rêvait venir en Afrique. L’œuvre qu’elle a fondée s’est déjà propagée en Espagne, Italie, France, Porto-Rico, Paraguay, Guinée équatoriale, RDC et au Burkina Faso.

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