Butembo-Lubero : l’ECCO au chevet des sinistrés des massacres de Beni hébergés en paroisse Musimba

Le parti politique Ensemble Changeons le Congo, ECCO fédération de Butembo-Lubero, a payé une visite aux sinistrés des massacres de Beni-ville et territoire, encadrés par l’ISPRON de la paroisse de Musimba. La délégation de l’ECCO était conduite par son président fédéral ce lundi 1ier février 2020. Une satisfaction pour les bénéficiaires qui saluent la bonne volonté des bienfaiteurs de ce lundi.

La délégation était conduite par Kakule Vanzwa Michou qui est descendu vers un pont qu’il a lui-même construit en cellule Vutundiro. De là, les membres du partis sont allés rendre visite aux sinistrés des massacres de Beni-ville et territoire, encadrés par l’ISPRON de la paroisse de Musimba. Ces déplacés de guerre ont bénéficié des vivres et non vivres. Le président fédéral de l’ECCO mentionné que ses activités caritatives rentrent dans le cadre du social envers les nécessiteux.

« Dans nos activités nous visons plus le social. Donc, nous voulons changer le quotidien de la population. Nous ne voudrions pas rester les bras croisés tout en voyant une très grande population en détresse », a mentionné Kakule Vanzwa Michou.

L’ECCO venait d’offrir un autre don pour la contribution des bancs en l’église paroissiale Marie Notre Dame de Guadalupe de Musimba ce lundi. Il a remis également des tôles pour la construction du Baraza Vutundiro en paroisse portant le même nom.

Les bénéficiaires ont salué ce geste de charité posé par le président fédéral de l’ECCO. Parmi eux, l’Abbé Jules Kaniki de Musimba.

« Nous disons vraiment merci pour ce geste qu’il vient de poser comme chrétien. Que ses activités puissent aller de l’avant, parce que nous avons besoin des bancs dans l’Eglise », a reconnu le serviteur de l’Eglise.

Pour rappel, l’ECCO a rendu visite aux orphelins de Naina Kyambogho chez Kavira Visekembwa Marie Agnes, vendredi 29 janvier dernier. Le même jour, Kakule Vanzwa Michou est allé en localité de Inenehya, groupement Ngulo au centre de santé Bweteta où il a payé la facture de sept malades.

Evariste Kasereka

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